Date |
Heure |
Évènement |
Intitulé |
Intervenant(s)/ Coord. |
Lieu |
Juin juillet 20 |
12h-14h |
Séminaire interne |
[POPSU Territoires] |
Anne Sistel |
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Juin 20 |
09h-18h |
Journée d’études doctorales |
En cours |
Thomas Robardet-Caffin
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Juin 20 |
12h-14h |
Séminaire interne |
[ HUT] |
Hassan Ait Haddou |
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20.05.20 |
12h-14h |
Séminaire interne |
[OEHM] |
Philippe Devillers |
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13.05.20 |
12h-14h |
Séminaire doctoral |
En cours |
Safa Ghidaoui |
Salle des conseils |
28.04.20 |
12h-14h |
Séminaire interne |
L’enseignement de l’architecture. [HenSA20] |
Catherine Titeux |
Salle des conseils |
01.04.20 |
12h-14h |
Séminaire doctoral |
En cours |
Marjan Senssen |
Salle des conseils |
18.03.20 |
12h-14h |
Séminaire doctoral |
En cours |
Chrystelle Malet |
Salle des conseils |
11.03.20 |
12h-14h |
Séminaire interne |
L’architecture au prisme de la transition écologique. [ENSAECO] |
Jean-Paul Laurent, Robert Célaire, Hassan Ait Haddou |
Salle des conseils |
19.02.20 |
12h-14h |
Séminaire interne |
La métropolisation à l’épreuve des territoires. [POPSU Métropoles]. |
Laurent Viala |
Salle des conseils |
12.12.19 |
14h-18h |
Soutenance thèse |
Quand l’art contemporain s’intéresse à l’économie : espace de travail et formes économiques en question. Dans un ouvrage intitulé Art et économie, Jean-Marc Huitorel indiquait, dans son introduction, que « l’artiste fournit des outils pour lire le monde ». Pour les artistes dont la pratique est tournée vers l’extérieur et consiste, entre autres, à fournir des outils pour lire le monde (Allan Sekula ou Alfredo Jarr, par exemple), un travail avec l’économie est inévitable, sans pour autant qu’ils en deviennent nécessairement des spécialistes. Que ce soit à travers des cartographies des flux ou des dispositifs explorant, à grande échelle, la mondialisation des échanges, ou que cela soit à une autre échelle, à travers les espaces et conditions de travail, ils s’inscrivent parfaitement dans le courant 'hétérodoxe' (qui revendique la pluralité des approches) et apportent toute sa légitimité au dialogue entre art et économie.
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Caroline Bach |
Salle 003 à l’Université Paul-Valéry Montpellier 3, Site Saint-Charles 1
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05.12.19 |
09h-18h |
Journée d’étude |
Le château féodal. Des usages générateurs de formes architecturales. La notion de château englobe de multiples réalités formelles bien souvent difficiles à classer ou échelonner avec précision dans le temps et l’espace. Le château incarne un système politique complexe : la féodalité. Il revêt des fonctions multiples, lieu de pouvoir, habitat familial, lieu de protection de quelques occupants ou refuge de la population etc. Castrum, castellum, fortia, quelles réalités bâties l’homme du Moyen Âge désigne-t-il derrière ces termes ? Nous nous questionnerons plus spécifiquement sur comment les usages et les fonctions se manifestent à travers les formes architecturales du château ? Les formes désignent ici l’ensemble des éléments architecturaux, qu’il s’agisse de la silhouette de l’édifice ou du détail d’un élément fonctionnel ou décoratif. Il s’agira donc de mettre en lumière des formes architecturales du château récurrentes ou non, qui caractérisent des coutumes propres au système féodal. |
Thomas Robardet-Caffin
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Salle Kourros - Site Saint-Charles, Rue du Professeur Henri Serre
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03.12.19 |
9h-13h |
Soutenance thèse |
Esthétiques de l’utopie. L’architecture inquiété par l’art contemporain En 1516, l’humaniste anglais Thomas More écrit l’Utopie et nomme ainsi un genre à part entière qui, loin d’être une notion inédite, va questionner et secouer l’ensemble des champs artistiques et philosophiques. A travers cette recherche, il s’agit d’approcher cet insaisissable « lieu de nulle part » par le prisme d’un travail interdisciplinaire où s’interrogent réciproquement architecture et art contemporain. Il faut dès lors saisir l’utopie dans l’espace et le lieu propre de la contemporanéité et du contemporain qui, comme le souligne Giorgio Agamben est, « celui qui reçoit en plein visage le faisceau de ténèbres qui provient de son temps ». Loin des attentes et des présupposés de l’Histoire et de la chronologie, nous tenterons d’entendre l’utopie au sein d’un maillage où s’interrogent et s’interpellent philosophie, esthétique, littérature, poésie, psychanalyse et, bien évidemment, architecture et arts plastiques. Basé sur le modèle de la carte heuristique, où s’entremêlent les chemins qui ne mènent nulle part, il faut entrevoir cette recherche sous les traits d’une promenade intime, esthétique et poétique. Promenade à la rencontre de motifs privilégiés tels que : le voyage, le naufrage, la porte, le seuil, le labyrinthe, la tour, l’arbre, la pyramide, l’île, le refuge, ou encore le chantier, la ruine, le chez-soi, et cetera. Enfin, il est nécessaire de noter que c’est à partir et à travers les œuvres d’art que cheminera notre propos, renforcé par leurs puissances poïétiques et poétiques intrinsèques qui sont aussi mises en acte au sein même de l’utopie.
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Matthieu Founeau |
Salle des Actes à l’Université Paul-Valéry Montpellier 3, Site Saint-Charles 1
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